by Gülçin Erdi https://policy.bristoluniversitypress.co.uk/young-people-radical-democracy-and-community-development  Young People, Radical Democracy and Community Development, edited by Janet Batsleer, Harriet Rowley and Demet Lüküslü Young people are often at the forefront of democratic activism, whether self-organised or supported by youth workers and community development professionals. Focusing on youth activism for greater equality, liberty and mutual care – radical democracy – this timely collection explores the movement’s impacts on community organisations and workers. Essays from the Global North and Global South cover the Black Lives Matter movement, environmental activism and the struggles of refugees. At a time of huge global challenges, youth participation is a dynamic lens through which all community development scholars and participants can rethink their approaches. Content: PART I Young people: radical

par Gülçin Erdi https://journals.openedition.org/com/13754 Cet article propose d’étudier les formes de réaction et de mobilisation citoyennes dans la ville d’Hasankeyf contre la construction d’un barrage hydroélectrique qui a entrainé la disparition de cette ville. Il s’interroge sur la nature des projets de développement en Turquie mis en place d’une manière autoritaire et qui deviennent parfois les instruments d’une politique de discrimination multidimensionnelle de la part des institutions publiques. Tout en étudiant la résistance sous contrainte au sens politique et culturel, l’article analyse les liens entre la mobilisation et l’espace en termes d’identification et d’appropriation. Il montre également comment le contexte autoritaire influence les stratégies de mobilisation en termes d’enjeux spatiaux et ethniques. Dans le cas d’Hasankeyf, l’article démontre comment les

par Bayram BALCI https://www.revue-etudes.com/article/les-nouvelles-relations-entre-la-turquie-et-la-russie-24509 Les relations entre la Turquie et la Russie ont longtemps été conflictuelles. Elles le restent pour une part, comme le montre l’exemple de la Syrie, mais des formes de coopération sont aussi possibles lorsqu’il s’agit d’intérêts mutuels. Ce qui les réunit est le sentiment d’être mal aimées de l’Occident. Mais les liens ne sont pas rompus entre la Turquie et l’Occident, ce qui pourrait lui permettre de jouer un rôle de médiatrice. Plan de l’article Depuis les tsars, des relations négatives Entre coopération rivale et rivalité coopérative La Syrie, un lieu de rivalité et d’entente La guerre, un moment de risque et d’occasions Ces dernières années, s’il y a deux pays qui ont défrayé la chronique par

rédigé par Julien BOUCLY et Clément VALLET Organisée par le Groupe d’Intérêt Scientifique Moyen-Orient et Mondes Musulmans (GIS MOMM) et l’Institut Français d’Études Anatoliennes (IFEA), avec la participation d’Istanbul Policy Center (IPC) et de l’Institut Français d’Études sur l’Asie Centrale (IFEAC) Du 13 au 17 juin, l’IFEA et le GIS MOMM ont réuni à Istanbul une dizaine de chercheur.se.s et doctorant.e.s spécialisé.e.s sur les questions patrimoniales et environnementales dans les aires turque, centrasiatique, kurde, ottomane et post-ottomane. Le but était de nourrir l’état de la recherche sur le patrimoine et l’environnement en réfléchissant aux synergies possibles entre ces concepts et entre disciplines. Les participant.e.s relevaient en effet de nombreuses disciplines (sociologie, science politique, anthropologie, géographie, urbanisme, histoire, architecture) et mobilisaient