Traductrice professionnelle depuis deux décennies (anglais ↔ français), Françoise Miquet s’intéresse à l’agentivité du traducteur, que ce soit dans son activité de traduction interlinguistique ou dans d’autres activités de médiation interculturelle. Sa recherche doctorale se concentre sur un groupe de traductrices et traducteurs Grecs d’Istanbul qui sont récemment devenus écrivains et qui « traduisent » dans leurs livres le passé récent de leur communauté.